Résumé de section
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- DÉBATTRE EN FLE, FRANÇAIS LANGUE ÉTRANGÈRE, Stéphanie Holleville
- QUE SAIS-JE ? L'argumentation, Histoire, théories et perspectives, CHRISTIAN PLANTIN
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Qu’est-ce qu’un texte argumentatif ?
Le texte argumentatif est un des types de texte courant dont le but est de convaincre ou d’influencer son destinataire (la personne qui lit le texte).
Les types de textes courants
La catégorie des textes courants regroupent les textes descriptifs, argumentatifs et explicatifs. Elle vise à établir un lien avec le monde qui nous entoure, à informer, à commenter, à prendre position, etc.
- La structure du texte argumentatif
Si tu es au secondaire, la structure du texte argumentatif est variable, certaines parties peuvent être modifiées, déplacées ou encore être absentes. Afin de te guider, voici les grandes composantes du texte argumentatif. Elles te seront détaillées plus bas.
A. L’introduction
B. Le développement
1. Sujet amené
1. Un organisateur textuel
2. Sujet posé
2. L’affirmation (l’argument)
3. La thèse (ton angle)
3. Le développement de l’argument
4. Sujet divisé
4. La formulation d’une conclusion partielle
C. Et/ou la réfutation
D. La conclusion
1. Un organisateur textuel
1. Un rappel de la thèse
2. Le contre-argument
2. La synthèse
3. Le développement du contre-argument
3. Une ouverture
4. La formulation d’une conclusion partielle
- Comment préparer un texte argumentatif
C’est très simple : en lisant ! Eh oui, tout ce que tu lis, que ce soit des articles de revue, de nouvelles ou encore des textes informatifs, toutes tes lectures peuvent t’aider à former ton opinion (ton discours argumentatif) et à élaborer ton texte.
4. Comment construire ton introduction
A. L’introduction
1. Sujet amené
2. Sujet posé
3. La thèse (ton angle)
4. Sujet divisé
Afin d’introduire ton lecteur au sujet de ton texte, tu peux l’apporter de différentes façons :
- En abordant ton lecteur : ex. Vous croyez tout savoir sur …
- En utilisant des données qui impressionnent : ex. Un billet de spectacle pour Taylor Swift s’est vendu, au rabais, pour 580$ !
- En utilisant un fait historique : ex. Pauline Marois a été la première femme à occuper le poste de première ministre du Québec en 2012.
- En utilisant une citation : ex. Selon le capitaine Charles Patenaude, « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, car il reste de l’eau chaude. »
- En utilisant une anecdote (vraie ou inventée) : ex. Un jour, alors que Maude promenait son chien…
- En utilisant une situation possible et terrifiante : ex. Des mers mortes, des sécheresses fréquentes, des pénuries alimentaires grandissantes…
- En utilisant des questions, généralement à coup de trois : ex. Connaissez-vous le terme d’alphabétisation ? Saviez-vous que près de la moitié de la population québécoise est analphabète fonctionnelle ? Et saviez-vous que …
- En utilisant une situation hypothétique : ex. S’il fallait que… Et si…
Le sujet posé
En général, le sujet posé est toujours une question.
Exemples :
Devrions-nous interdire les cellulaires dans les classes ?
Devrait-on garder les uniformes obligatoires dans les écoles secondaires ?
Le port du casque en vélo devrait-il être obligatoire ?
La thèse
Ta thèse, c’est la réponse à la question qui t’a été posée et que tu as écrite dans ton sujet posé. Elle permet d’indiquer l’angle de ton texte.
Ex.
Devrions-nous interdire les cellulaires dans les classes ? Selon le groupe d’âge des élèves, interdire les cellulaires dans les salles de classe est une solution à envisager.
Ex.
Devrait-on interdire toute campagne publicitaire destinée aux enfants ? Selon moi, les nouvelles publicités devraient …
Le sujet divisé
Le sujet divisé est une courte introduction à l’ordre de tes arguments. Tu énumères donc les arguments et, si c’est le cas, les contre-arguments de ton texte.
Exemple :
Il sera donc question des effets des jeux vidéo sur la concentration, la mémoire et la reconnaissance visuelle.
5. Comment construire ton développement
B. Le développement
1. Un organisateur textuel
2. L’affirmation (l’argument)
3. Le développement de l’argument
4. La formulation d’une conclusion partielle
D’abord, il est important que tu retiennes ceci :
Un paragraphe = un argument
Les organisateurs textuels
Pour chaque début de paragraphe de ton développement, on te recommande d’utiliser un organisateur textuel. Il en existe une variété avec des valeurs différentes (le lieu, le temps, l’ajout, la transition, l’introduction, la succession, la conclusion).
Les marqueurs de relation
Afin de relier tes idées ensembles, tu utiliseras aussi des marqueurs de relation, dont des marqueurs d’opposition. Voici un petit tableau utile sur les grandes différences entre les marqueurs d’opposition.
Le marqueur d’opposition
Son sens
Exemples
Par contre
Par contre émet une opposition vive.
J’adore l’automne, par contre je déteste les feuilles mortes.
Cependant
Cependant signifie « pendant ce temps ».
Les enfants ont terminé leurs devoirs, cependant ils n’ont pas complété toutes leurs leçons.
Toutefois
Toutefois indique que le 2e élément est une exception.
Elle déteste les mathématiques, toutefois elle trouve les statistiques fascinantes.
En revanche
En revanche remplace l’expression « l’envers de la médaille ». Il faut donc que son noyau (le sujet) reste identique lorsque tu l’utilises.
La vie est douce, en revanche elle peut aussi être rude.
La campagne est paisible, en revanche elle possède moins de services essentiels.
Néanmoins
Néanmoins a le même sens que « malgré ce qui vient d’être dit ».
Les tables de multiplication peuvent être complexes, néanmoins elles sont utiles toute notre vie.
Pourtant
Pourtant est synonyme de néanmoins.
Le cours de français est difficile, pourtant il est pertinent au diplôme.
L’affirmation
L’affirmation, c’est le point (l’idée) sur lequel tu vas insister. Tu peux la présenter sous la forme d’une phrase affirmative ou interrogative, donc pour commencer chaque paragraphe de ton développement, tu dois affirmer l’aspect que tu vas aborder.
Ex :
Contrairement à ce que pensent certaines personnes, le style de musique peut exercer une influence positive ou négative sur la concentration.
Si tu as besoin d’aide pour formuler ton affirmation, tu peux aussi utiliser certains types d’arguments :
- Un argument logique : établir un fait basé sur des causes et leurs conséquences ;
- Un argument d’autorité : citer une figure d’autorité ;
- Un argument analogique : établir des similitudes entre deux termes ;
- Etc.
Le développement de l’argument
Afin d’appuyer ton affirmation, tu peux utiliser une citation, un exemple ou une explication.
- Exemple rapporté : Reprends dans tes propres mots les propos d’une personne, tout en gardant l’idée générale. Exemple : Tel artiste a dit que … sur…
- Exemple littéraire : Cite les propos tirés d’un livre, d’un texte, d’un ouvrage de référence, etc. Exemple : Dans le roman de …, «la musique est l’essence de l’âme.»
- Exemple historique : Utilise un évènement important ou un personnage historique afin de soutenir ton point. Exemple : Le référendum de 1995 a démontré que …
- Exemple anecdotique* : Ce type d’exemple n’est pas toujours accepté par les enseignants. Renseigne-toi avant de l’utiliser dans ton texte. Il consiste à utiliser ou inventer une anecdote surprenante ou inattendue qui appuie ton argument principal. Exemple : Un certain Joe a déjà…
Ex :
En effet, selon Hallam et coll. (2002), « certaines musiques peuvent perturber la concentration et générer des ambiances qui peuvent mener à des états d’esprit moins altruistes » [traduction libre]. Toujours selon ces auteurs, une fois que l’attention d’un élève est perdue, elle est reportée sur le morceau qui est joué plutôt que sur sa tâche. Par ailleurs, une musique jugée plus calme ou relaxante permettrait de créer une ambiance de classe plus appropriée à l’apprentissage et à la concentration, et par conséquent, une musique stimulante engendrerait l’effet inverse.
Certains figures ou procédés peuvent t’aider à appuyer tes propos :
- Les liens de causalité (cause-effet) ;
- Les procédés explicatifs (comparaison, définition, explication, etc.)
- Le raisonnement déductif (déduire une logique d’un fait)
- Le raisonnement logique (utiliser la capacité de raisonnement de ton destinataire)
- Etc.
La formulation d’une conclusion partielle
Pour chaque paragraphe de développement, on te recommande de terminer ton argument avec une mini-conclusion et, si possible, une transition vers ton prochain point.
Ex :
Il importe donc de bien choisir le style de musique lorsqu’il est question de révision ou de travail. Évidemment, selon les goûts musicaux et surtout l’âge, cet effet peut varier d’un individu à l’autre.
Comment construire ta réfutation
Le contre-argument
C. Et/ou la réfutation
1. Un organisateur textuel
2. Le contre-argument
3. Le développement du contre-argument
4. La formulation d’une conclusion partielle
Un contre-argument est un argument possible, une objection qu’une personne pourrait te dire afin de contredire ta thèse.
La réfutation
La structure de la réfutation est la même que celle pour le développement. La grande distinction est que plutôt que de présenter ton affirmation, tu présentes un contre-argument ou une contre-thèse à ton propre argument.
Selon le type de plan que tu utilises, tu développes ensuite ce contre-argument, en supportant ton point de vue et tu peux utiliser des procédés de réfutation afin de répondre au contre-argument présenté. Tu conclus ensuite ton texte et insères, si possible, une transition vers le prochain paragraphe.
Les procédés de réfutation
Pour réfuter (rejeter un raisonnement), tu peux utiliser l’un des procédés de réfutation ci-dessous.
- Ressortir la ou les contradictions de la contre-thèse ;
- Nommer une exception à la contre-thèse ;
- Concéder un argument de la contre-thèse ;
- Retourner la contre-thèse vers son destinataire ;
- Mettre l’accent sur une faille de la contre-thèse ;
- Montrer que la contre-thèse n’est plus d’actualité ;
- Etc.
6. Comment construire ta conclusion
D. La conclusion
1. Un rappel de la thèse
2. La synthèse
3. Une ouverture
Le rappel de la thèse
Pour le rappel de la thèse, reformule ou réutilise la question de ton sujet posé. Ton rappel doit soit être présenté sous la forme de question ou sous la forme d’une phrase interrogative indirecte.
Ex :
En bref, devrait-on permettre la musique en classe afin de renforcer la concentration chez les élèves ?
La synthèse
Dans la synthèse, tu rappelles les principaux arguments et contre-arguments apportés dans ton texte sur lesquels tu veux revenir afin de répondre à la question (ton sujet posé).
Ex :
Les étudiants, peu importe leur origine, savent généralement lorsqu’une musique jouée comme un bruit de fond devient dérangeante et connaissent aussi les bienfaits de la musique sur la concentration, contrairement à leurs pairs plus jeunes. Il importe donc d’éduquer les enfants au bon usage de la musique.
L’ouverture
L’ouverture, aussi appelée la chute, permet de laisser ton lecteur sur une réflexion, une citation ou une information pertinente en lien avec ton texte.
Pour ce faire, tu peux utiliser les mêmes procédés que ceux du sujet amené :
- En utilisant une anecdote (vraie ou inventée) ;
- En utilisant un fait historique ;
- En utilisant une citation ;
- En utilisant une situation possible et terrifiante ;
- En utilisant des données qui impressionnent ;
- En utilisant des questions, généralement à coup de trois ;
- En utilisant une situation hypothétique (et si).
Exemple de chute anecdotique
Parallèlement, Kevin, lorsqu’il sera parent, ne fera peut-être pas jouer du Mozart à ses enfants afin de développer leur intelligence, comme sa mère Sylvie avec lui, mais il leur apprendra à écouter adéquatement de la musique afin de stimuler leur concentration.
https://tutorax.com/blogue/quest-ce-quun-texte-argumentatif/
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Les connecteurs dans un texte argumentatif (TD2)
- Définition
Les connecteurs sont des mots qui marquent un rapport de sens entre des propositions ou entre les phrases d'un texte. Ils jouent un rôle clef dans l'organisation du texte : ils en soulignent les articulations. Ils marquent les relations établies entre les idées par celui qui parle.
Les connecteurs argumentatifs ou logiques sont les plus nombreux. Ils marquent un rapport logique entre deux phrases ou deux propositions. Ils soulignent les étapes d’une explication (texte explicatif) ou d’un raisonnement (texte argumentatif), mais aussi parfois d’un récit.
- Objectif
Les connecteurs logiques prédominent surtout dans les textes argumentatifs et explicatifs car ils permettent de bien suivre le cheminement de la pensée de l'auteur. Toutefois, on les trouve aussi dans les textes narratifs. Les connecteurs logiques jouent un rôle clé dans l'organisation et la cohérence d'un texte ; ils en soulignent les articulations.
Ils appartiennent à différentes natures/classes grammaticales et expriment plusieurs valeurs :
- La nature des connecteurs logiques
Les connecteurs logiques appartiennent à trois classes grammaticales principales.
- La classe des adverbes et des locutions adverbiales : soudain, cependant, etc. (pour les adverbes) ; en effet, de fait, du reste, etc. (pour les locutions adverbiales).
- La classe des conjonctions de coordination : mais, ou et donc, or, ni, car, etc.
- La classe des conjonctions de subordination : que, si, etc.
- Les locutions conjonctives : parce que, ainsi que, etc.
Autres natures : On trouve aussi des connecteurs logiques parmi les prépositions (ou les locutions prépositives) et diverses locutions.
4. Les valeurs des connecteurs logiques
A. Les types de connecteurs logiques : Il faut distinguer deux sortes de connecteurs logiques :
- Ceux qui expriment les principales relations logiques (cause, conséquence, but, opposition, condition, etc.) ;
- Ceux qui structurent l'argumentation et expriment des nuances argumentatives. On les appelle parfois des connecteurs logiques organisationnels. (Énumération d'arguments, gradation des arguments, introduction d'exemples).
B. Fonction et nature des connecteurs logiques :
Ces deux fiches suivantes à pour but de vous aider à rédiger un texte argumentatif grâce aux connecteurs de phrases.
Vous verrez ici les différents termes à utiliser pour présenter des arguments, les expliquer, ou marquer une contradiction. Ces termes sont souvent utilisés à l'écrit, mais ils peuvent aussi servir à l'oral.
A) Si je veux argumenter une idée, un fait, je dois classer ma démonstration :
Je débute par :
- premièrement / d'abord / tout d'abord / en premier lieu
Puis j’ajoute des éléments :
- en outre / de plus / par ailleurs / ensuite / d'une part... d'autre part / en second lieu...
Je mets d’autres idées en parallèle, pour comparer :
- également / de même / ainsi que / encore / aussi
Je conclus :
- enfin / en dernier lieu / en somme
B) Si je veux développer une idée après l’avoir introduite :
Je l’explique :
- c'est-à-dire / en d'autres termes / car / c'est que
Je donne un exemple :
- ainsi / par exemple / notamment / comme / en particulier
J’apporte une preuve :
- en effet / du fait de
Je reconnais éventuellement une incidente :
- or
J’apporte éventuellement un nouvel élément :
- d'ailleurs / et puis / certes / bien que
C) Je veux argumenter en opposant des idées, des faits :
Pour marquer une forte contradiction :
- mais / en revanche / alors que / tandis que / au contraire / et non / bien que
Pour rectifier :
- en réalité / en vérité / en fait
Pour marquer une opposition modérée :
- cependant / néanmoins / pourtant / toutefois
Pour surenchérir ou atténuer :
- voire / même / du moins / tout au moins / à tout le moins
D) Je veux définir la cause :
car / parce que / puisque / sous prétexte que / soit que... soit que... / non que (+ subjonctif)...
mais parce que / par peur de / faute de / grâce à
E) Je veux définir les conséquences :
donc / de sorte que / de façon que / tellement que / au point de / de manière à /ainsi / en effet / par conséquent / alors
F) Je relève les oppositions :
alors que / sauf que / mais / même si (+ indicatif) / quand bien même (+ conditionnel) / en revanche / au contraire / par contre
G) J’établis les comparaisons :
comme / autrement que / comme si / aussi... que / moins... que / plus... plus... /ainsi que / de même que / contrairement à
H) J’admets, je fais des concessions :
bien que (+ subjonctif) / toutefois / néanmoins / cependant
I) Je pose mes conditions :
si / au cas où (+ conditionnel) / à moins que (+ subjonctif) / pourvu que (+ subjonctif)
Faites le bon choix parmi les connecteurs proposés.
Les Connecteurs Logiques Et Leur Fonction avec des exemples :
A) LES BASES DE L'ARGUMENTATION
La cause : parce que, puisque, étant donné que, comme, pour la raison que, sous prétexte que, attendu que, du fait que, du moment que, non que... mais par ce que, ce n’est pas que, car, sous l’effet de, à cause de, grâce à, à force de, faute de.
La conséquence : de sorte que, si bien que, de manière que, de façon que, au point que, tellement que, si (+ adjectif) que, tant (+ verbe) que, donc, par conséquent, de façon à, de manière à, par conséquent, aussi, d’où, de ce fait, dès lors.
Exemple : "Je pense donc je suis." René Descartes, Les Méditations, 1637.
- La conséquence est clairement formulée.
B) L'ENRICHISSEMENT DE L ARGUMENTATION
La comparaison : comme, de même que, ainsi que, tel que, à mesure que, moins que, plus que, d’autant plus que, au fur et à mesure que, dans la mesure où, par rapport à.
L’opposition : quoique, bien que, alors que, tandis que, même si, quand bien même, malgré, en dépit de, certes, mais, cependant, pourtant, néanmoins, en revanche, au contraire, or, à l’inverse, toutefois.
Exemple: "Les mines d'or ne sont plus au Mexique mais place de la Bourse." Honoré de Balzac, Le Faiseur, 1848.
- Le connecteur "mais" donne de la vigueur à l’opposition.
C) L’ÉLARGISSEMENT DE L'ARGUMENTATION
Le but : afin que, pour que, de crainte que, de peur que, afin de, en vue de, pour.
L’hypothèse : si, au cas où, selon que, suivant que, à supposer que, pourvu que, en admettant que, soit que... soit que, à moins que, pour peu que, à condition de, ou, moyennant.
Exemple: "Le bonheur consiste ou en émotions fortes qui usent la vie ou en occupations réglées qui en font une mécanique anglaise". Honoré de Balzac, Gobseck, 1830.
- Les connecteurs soulignent l’alternative.
D) LA MISE EN ORDRE DE L'ARGUMENTATION
L’addition et le classement : et, puis, en outre, d’ailleurs, ensuite, non seulement, non seulement... mais encore, d’une part, d’autre part, de surcroît, d’abord, en premier lieu, au premier chef, avant tout, en somme, enfin, en bref, en définitive, en général.
".L’illustration et la nuance : par exemple, c’est le cas de, en d’autres termes, c’est-à-dire, à ce propos, à cet égard, voire, en réalité, en vérité, pour ainsi dire, précisément, en particulier.
Exemple: Enfin, on ne s'élève contre les progrès de la civilisation que par l'obsession des préjugés". François-René de Chateaubriand, Voyage en Amérique, 1827.
- « Enfin » précise que l’auteur avance son dernier argument.
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fiches et grilles
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Il s'agit d'un exemple d'un texte explicatif et un résumé de ses caractéristiques, ainsi qu'une série d'exercices.
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