Séances 1 et 2

 

1. L’onomastique : une science carrefour, une réflexion historico-linguistique

. Présentation et définition du concept et de l’objet d’étude

. Subdivisions de l’onomastique

. L’onomastique,  étude pluridiscilinaire

. Méthode et investigation

 

2.L’onomatstique, étude du nom propre (abstract : interrogations er suggestions)

.Pertinence et  limites de l’onomastique

.Le propre du nom propre

 

 

 

 

De par son caractère multidisciplinaire, on lui reproche (à l’onomastique) souvent de ne pas définir clairement son objet d’étude.  La délicatesse de l’objet de son étude (le nom propre) et la complexité des rapports étroits  qu’elle entretient  avec l’histoire, la géographie, la lexicologie complique sa tâche et altère sa rigueur sur le plan scientifique. Le nom propre   un  appellatif, que l’usage a conventionnellement  retenu comme vide de sens : Il ne signifie pas mais indique. Le nom propre est-il encore un nom ? Accepte- t-il  déterminant et pluriel… ?

Pour  de Brosses,[1] «  la réflexion linguistique change de visée : le nom propre est abordé, non plus sous l’angle de sa nature, mais sous celui de son histoire … Les noms propres personnels ont une origine significative, et forment un sens dans le langage. Ils sont formés sur les mêmes principes que les autres mots d’une langue » 

Le nom  propre serait alors une fonction. Voilà ce qui engage l’onomastique à s’orienter vers la sociolinguistique.

L’onomastique – discipline qui étudie  les noms propres  se limite à la « définition, à l’étymologie (svt incertaine) à l’histoire …et néglige leur nature linguistique. La primauté doit être à l’étiologie et non à l’étymologie. Le nom propre est avant tout un nom  commun et l’onomasticien l’étudie  (mot ) comme nom commun. Les procédés de dénomination (en amont) ou d’analyse (en aval) sont partagés par/dans les diverses sous disciplines : anthroponymie, toponymie, etc. 

 

Le nom (l’appellation) propre serait-il propre à un individu, à un seul lieu. L’anthroponyme ne renforce nullement cette représentation. Combien y a-t-il de Samir, de Aicha, Christine ?

 

Particularités ! tous med , plusieurs med/ un med  peut désigner quiconque et une fatma (nom «  Sali » ) renvoyait bien à … Albert Dauzat faisait des noms propres « les substantifs par excellence » et pour  M. Bréal «  étaient les plus significatifs de tous »

Un sens ? Une référence particulière serait-elle possible sans appel au sens ?

 

 

Exercice

(Même pour un nom propre le sens est déterminant pour comprendre les énoncés qui suivent.

 

Il se rend en ville.

Il se rend en Espagne.

Il se rend à Médine.

Il se rend à la campagne,  au village,  au Havre ((à l’oral).

Le mot, nom propre, serait-il vide de sens ou surchargé de sens ?   C’est ce que nous verrons en semble.

 

 

 

Bibliographie

Basset, André, La langue berbère, Alger, Alger-livres,2013.

Baylon et Fabre, les noms de lieux et de personnes, Paris, Nathan, 1982.

Cheriguen, Foudil, Toponymie algérienne des lieux habités et des personnes, Alger, Epigraphe1993.

 --      ,   --      , Dictionnaire d’hdronymie générale de l’Afrique du nord ; éd. Achab, Tizi Ouzou, 2012.

Dauzat, Albert, Noms de lieux. Origine et évolution, Paris, Delagrave,1928.

--    --      , --       , La toponymie française, Paris, Payot 1971

Dorian,  Henri , Le lexique des termes utiles à l’étude des noms de lieux, P.U. Laval, Québec,1975.

HADDADOU Mohand-Akli, Dictionnaire toponymique et historique de l’Algérie, Tizi –Ouzou,2012.

 HUDON, Hélène, Méthodologie des inventaires toponymiques,Québec, 1986.( disponible sur Google)

LONGNON, Auguste, Les noms de lieux de la France, leur origine, leur simplification, leus transformations ; Paris, Libraire Ancienne Honoré Champion,1920.

Pellegrin, Arthur, Essai sur les noms de lieux d’Algérie et de Tunisie :

 étymologie, signification, Sapi, 1949.

Poty,René,Toonymie, une autre façon de voyage, http:/www.toponymie.com.

Rostaing, Charles, Les noms de lieux, Paris, PUF, 1974.

 

Articles

ATOUI (Brahim), L'odonymie d'Alger: passé et présent. Quels enseignements ? Nomination et dénomination, éd., CRASC, 2005.2.

BENRAMDANE (Farid), In Amenas,origines, Elwatan du 16 février, 2013.3.

CHERIGUEN (Foudil), Anthropo-toponymie et désignation de "l'environnement politique", Mots, 1994, volume 39.

BOUZIDI Boubaker, De l’odonymie (ou les voies de la ville) de Sétif, Revue Développement des Ressources Humaines ; VOL: 07/N02/décembre 2016

Molino, J. ,« Le nom propre dans la langue », Langages, 1982, n° 66, p. 5.

Fabre Paul, Théorie du nom propre et recherche onomastique                                            

journals.openedition.org › praxematique : consulté le 10. 12. 2020

 

 

 



[1] Cité in Théorie du nom propre et recherche onomastique, P,Fabre.                                           

Séances 1 et 2

 

1. L’onomastique : une science carrefour, une réflexion historico-linguistique

. Présentation et définition du concept et de l’objet d’étude

. Subdivisions de l’onomastique

. L’onomastique,  étude pluridiscilinaire

. Méthode et investigation

 

2.L’onomatstique, étude du nom propre (abstract : interrogations er suggestions)

.Pertinence et  limites de l’onomastique

.Le propre du nom propre

 

 

 

 

De par son caractère multidisciplinaire, on lui reproche (à l’onomastique) souvent de ne pas définir clairement son objet d’étude.  La délicatesse de l’objet de son étude (le nom propre) et la complexité des rapports étroits  qu’elle entretient  avec l’histoire, la géographie, la lexicologie complique sa tâche et altère sa rigueur sur le plan scientifique. Le nom propre   un  appellatif, que l’usage a conventionnellement  retenu comme vide de sens : Il ne signifie pas mais indique. Le nom propre est-il encore un nom ? Accepte- t-il  déterminant et pluriel… ?

Pour  de Brosses,[1] «  la réflexion linguistique change de visée : le nom propre est abordé, non plus sous l’angle de sa nature, mais sous celui de son histoire … Les noms propres personnels ont une origine significative, et forment un sens dans le langage. Ils sont formés sur les mêmes principes que les autres mots d’une langue » 

Le nom  propre serait alors une fonction. Voilà ce qui engage l’onomastique à s’orienter vers la sociolinguistique.

L’onomastique – discipline qui étudie  les noms propres  se limite à la « définition, à l’étymologie (svt incertaine) à l’histoire …et néglige leur nature linguistique. La primauté doit être à l’étiologie et non à l’étymologie. Le nom propre est avant tout un nom  commun et l’onomasticien l’étudie  (mot ) comme nom commun. Les procédés de dénomination (en amont) ou d’analyse (en aval) sont partagés par/dans les diverses sous disciplines : anthroponymie, toponymie, etc. 

 

Le nom (l’appellation) propre serait-il propre à un individu, à un seul lieu. L’anthroponyme ne renforce nullement cette représentation. Combien y a-t-il de Samir, de Aicha, Christine ?

 

Particularités ! tous med , plusieurs med/ un med  peut désigner quiconque et une fatma (nom «  Sali » ) renvoyait bien à … Albert Dauzat faisait des noms propres « les substantifs par excellence » et pour  M. Bréal «  étaient les plus significatifs de tous »

Un sens ? Une référence particulière serait-elle possible sans appel au sens ?

 

 

Exercice

(Même pour un nom propre le sens est déterminant pour comprendre les énoncés qui suivent.

 

Il se rend en ville.

Il se rend en Espagne.

Il se rend à Médine.

Il se rend à la campagne,  au village,  au Havre ((à l’oral).

Le mot, nom propre, serait-il vide de sens ou surchargé de sens ?   C’est ce que nous verrons en semble.

 

 

 

Bibliographie

Basset, André, La langue berbère, Alger, Alger-livres,2013.

Baylon et Fabre, les noms de lieux et de personnes, Paris, Nathan, 1982.

Cheriguen, Foudil, Toponymie algérienne des lieux habités et des personnes, Alger, Epigraphe1993.

 --      ,   --      , Dictionnaire d’hdronymie générale de l’Afrique du nord ; éd. Achab, Tizi Ouzou, 2012.

Dauzat, Albert, Noms de lieux. Origine et évolution, Paris, Delagrave,1928.

--    --      , --       , La toponymie française, Paris, Payot 1971

Dorian,  Henri , Le lexique des termes utiles à l’étude des noms de lieux, P.U. Laval, Québec,1975.

HADDADOU Mohand-Akli, Dictionnaire toponymique et historique de l’Algérie, Tizi –Ouzou,2012.

 HUDON, Hélène, Méthodologie des inventaires toponymiques,Québec, 1986.( disponible sur Google)

LONGNON, Auguste, Les noms de lieux de la France, leur origine, leur simplification, leus transformations ; Paris, Libraire Ancienne Honoré Champion,1920.

Pellegrin, Arthur, Essai sur les noms de lieux d’Algérie et de Tunisie :

 étymologie, signification, Sapi, 1949.

Poty,René,Toonymie, une autre façon de voyage, http:/www.toponymie.com.

Rostaing, Charles, Les noms de lieux, Paris, PUF, 1974.

 

Articles

ATOUI (Brahim), L'odonymie d'Alger: passé et présent. Quels enseignements ? Nomination et dénomination, éd., CRASC, 2005.2.

BENRAMDANE (Farid), In Amenas,origines, Elwatan du 16 février, 2013.3.

CHERIGUEN (Foudil), Anthropo-toponymie et désignation de "l'environnement politique", Mots, 1994, volume 39.

BOUZIDI Boubaker, De l’odonymie (ou les voies de la ville) de Sétif, Revue Développement des Ressources Humaines ; VOL: 07/N02/décembre 2016

Molino, J. ,« Le nom propre dans la langue », Langages, 1982, n° 66, p. 5.

Fabre Paul, Théorie du nom propre et recherche onomastique                                            

journals.openedition.org › praxematique : consulté le 10. 12. 2020

 

 

 



[1] Cité in Théorie du nom propre et recherche onomastique, P,Fabre.                                           

Séances 1 et 2

 

1. L’onomastique : une science carrefour, une réflexion historico-linguistique

. Présentation et définition du concept et de l’objet d’étude

. Subdivisions de l’onomastique

. L’onomastique,  étude pluridiscilinaire

. Méthode et investigation

 

2.L’onomatstique, étude du nom propre (abstract : interrogations er suggestions)

.Pertinence et  limites de l’onomastique

.Le propre du nom propre

 

 

 

 

De par son caractère multidisciplinaire, on lui reproche (à l’onomastique) souvent de ne pas définir clairement son objet d’étude.  La délicatesse de l’objet de son étude (le nom propre) et la complexité des rapports étroits  qu’elle entretient  avec l’histoire, la géographie, la lexicologie complique sa tâche et altère sa rigueur sur le plan scientifique. Le nom propre   un  appellatif, que l’usage a conventionnellement  retenu comme vide de sens : Il ne signifie pas mais indique. Le nom propre est-il encore un nom ? Accepte- t-il  déterminant et pluriel… ?

Pour  de Brosses,[1] «  la réflexion linguistique change de visée : le nom propre est abordé, non plus sous l’angle de sa nature, mais sous celui de son histoire … Les noms propres personnels ont une origine significative, et forment un sens dans le langage. Ils sont formés sur les mêmes principes que les autres mots d’une langue » 

Le nom  propre serait alors une fonction. Voilà ce qui engage l’onomastique à s’orienter vers la sociolinguistique.

L’onomastique – discipline qui étudie  les noms propres  se limite à la « définition, à l’étymologie (svt incertaine) à l’histoire …et néglige leur nature linguistique. La primauté doit être à l’étiologie et non à l’étymologie. Le nom propre est avant tout un nom  commun et l’onomasticien l’étudie  (mot ) comme nom commun. Les procédés de dénomination (en amont) ou d’analyse (en aval) sont partagés par/dans les diverses sous disciplines : anthroponymie, toponymie, etc. 

 

Le nom (l’appellation) propre serait-il propre à un individu, à un seul lieu. L’anthroponyme ne renforce nullement cette représentation. Combien y a-t-il de Samir, de Aicha, Christine ?

 

Particularités ! tous med , plusieurs med/ un med  peut désigner quiconque et une fatma (nom «  Sali » ) renvoyait bien à … Albert Dauzat faisait des noms propres « les substantifs par excellence » et pour  M. Bréal «  étaient les plus significatifs de tous »

Un sens ? Une référence particulière serait-elle possible sans appel au sens ?

 

 

Exercice

(Même pour un nom propre le sens est déterminant pour comprendre les énoncés qui suivent.

 

Il se rend en ville.

Il se rend en Espagne.

Il se rend à Médine.

Il se rend à la campagne,  au village,  au Havre ((à l’oral).

Le mot, nom propre, serait-il vide de sens ou surchargé de sens ?   C’est ce que nous verrons en semble.

 

 

 

Bibliographie

Basset, André, La langue berbère, Alger, Alger-livres,2013.

Baylon et Fabre, les noms de lieux et de personnes, Paris, Nathan, 1982.

Cheriguen, Foudil, Toponymie algérienne des lieux habités et des personnes, Alger, Epigraphe1993.

 --      ,   --      , Dictionnaire d’hdronymie générale de l’Afrique du nord ; éd. Achab, Tizi Ouzou, 2012.

Dauzat, Albert, Noms de lieux. Origine et évolution, Paris, Delagrave,1928.

--    --      , --       , La toponymie française, Paris, Payot 1971

Dorian,  Henri , Le lexique des termes utiles à l’étude des noms de lieux, P.U. Laval, Québec,1975.

HADDADOU Mohand-Akli, Dictionnaire toponymique et historique de l’Algérie, Tizi –Ouzou,2012.

 HUDON, Hélène, Méthodologie des inventaires toponymiques,Québec, 1986.( disponible sur Google)

LONGNON, Auguste, Les noms de lieux de la France, leur origine, leur simplification, leus transformations ; Paris, Libraire Ancienne Honoré Champion,1920.

Pellegrin, Arthur, Essai sur les noms de lieux d’Algérie et de Tunisie :

 étymologie, signification, Sapi, 1949.

Poty,René,Toonymie, une autre façon de voyage, http:/www.toponymie.com.

Rostaing, Charles, Les noms de lieux, Paris, PUF, 1974.

 

Articles

ATOUI (Brahim), L'odonymie d'Alger: passé et présent. Quels enseignements ? Nomination et dénomination, éd., CRASC, 2005.2.

BENRAMDANE (Farid), In Amenas,origines, Elwatan du 16 février, 2013.3.

CHERIGUEN (Foudil), Anthropo-toponymie et désignation de "l'environnement politique", Mots, 1994, volume 39.

BOUZIDI Boubaker, De l’odonymie (ou les voies de la ville) de Sétif, Revue Développement des Ressources Humaines ; VOL: 07/N02/décembre 2016

Molino, J. ,« Le nom propre dans la langue », Langages, 1982, n° 66, p. 5.

Fabre Paul, Théorie du nom propre et recherche onomastique                                            

journals.openedition.org › praxematique : consulté le 10. 12. 2020

 

 

 



[1] Cité in Théorie du nom propre et recherche onomastique, P,Fabre.                                           

Séances 1 et 2

 

1. L’onomastique : une science carrefour, une réflexion historico-linguistique

. Présentation et définition du concept et de l’objet d’étude

. Subdivisions de l’onomastique

. L’onomastique,  étude pluridiscilinaire

. Méthode et investigation

 

2.L’onomatstique, étude du nom propre (abstract : interrogations er suggestions)

.Pertinence et  limites de l’onomastique

.Le propre du nom propre

 

 

 

 

De par son caractère multidisciplinaire, on lui reproche (à l’onomastique) souvent de ne pas définir clairement son objet d’étude.  La délicatesse de l’objet de son étude (le nom propre) et la complexité des rapports étroits  qu’elle entretient  avec l’histoire, la géographie, la lexicologie complique sa tâche et altère sa rigueur sur le plan scientifique. Le nom propre   un  appellatif, que l’usage a conventionnellement  retenu comme vide de sens : Il ne signifie pas mais indique. Le nom propre est-il encore un nom ? Accepte- t-il  déterminant et pluriel… ?

Pour  de Brosses,[1] «  la réflexion linguistique change de visée : le nom propre est abordé, non plus sous l’angle de sa nature, mais sous celui de son histoire … Les noms propres personnels ont une origine significative, et forment un sens dans le langage. Ils sont formés sur les mêmes principes que les autres mots d’une langue » 

Le nom  propre serait alors une fonction. Voilà ce qui engage l’onomastique à s’orienter vers la sociolinguistique.

L’onomastique – discipline qui étudie  les noms propres  se limite à la « définition, à l’étymologie (svt incertaine) à l’histoire …et néglige leur nature linguistique. La primauté doit être à l’étiologie et non à l’étymologie. Le nom propre est avant tout un nom  commun et l’onomasticien l’étudie  (mot ) comme nom commun. Les procédés de dénomination (en amont) ou d’analyse (en aval) sont partagés par/dans les diverses sous disciplines : anthroponymie, toponymie, etc. 

 

Le nom (l’appellation) propre serait-il propre à un individu, à un seul lieu. L’anthroponyme ne renforce nullement cette représentation. Combien y a-t-il de Samir, de Aicha, Christine ?

 

Particularités ! tous med , plusieurs med/ un med  peut désigner quiconque et une fatma (nom «  Sali » ) renvoyait bien à … Albert Dauzat faisait des noms propres « les substantifs par excellence » et pour  M. Bréal «  étaient les plus significatifs de tous »

Un sens ? Une référence particulière serait-elle possible sans appel au sens ?

 

 

Exercice

(Même pour un nom propre le sens est déterminant pour comprendre les énoncés qui suivent.

 

Il se rend en ville.

Il se rend en Espagne.

Il se rend à Médine.

Il se rend à la campagne,  au village,  au Havre ((à l’oral).

Le mot, nom propre, serait-il vide de sens ou surchargé de sens ?   C’est ce que nous verrons en semble.

 

 

 

Bibliographie

Basset, André, La langue berbère, Alger, Alger-livres,2013.

Baylon et Fabre, les noms de lieux et de personnes, Paris, Nathan, 1982.

Cheriguen, Foudil, Toponymie algérienne des lieux habités et des personnes, Alger, Epigraphe1993.

 --      ,   --      , Dictionnaire d’hdronymie générale de l’Afrique du nord ; éd. Achab, Tizi Ouzou, 2012.

Dauzat, Albert, Noms de lieux. Origine et évolution, Paris, Delagrave,1928.

--    --      , --       , La toponymie française, Paris, Payot 1971

Dorian,  Henri , Le lexique des termes utiles à l’étude des noms de lieux, P.U. Laval, Québec,1975.

HADDADOU Mohand-Akli, Dictionnaire toponymique et historique de l’Algérie, Tizi –Ouzou,2012.

 HUDON, Hélène, Méthodologie des inventaires toponymiques,Québec, 1986.( disponible sur Google)

LONGNON, Auguste, Les noms de lieux de la France, leur origine, leur simplification, leus transformations ; Paris, Libraire Ancienne Honoré Champion,1920.

Pellegrin, Arthur, Essai sur les noms de lieux d’Algérie et de Tunisie :

 étymologie, signification, Sapi, 1949.

Poty,René,Toonymie, une autre façon de voyage, http:/www.toponymie.com.

Rostaing, Charles, Les noms de lieux, Paris, PUF, 1974.

 

Articles

ATOUI (Brahim), L'odonymie d'Alger: passé et présent. Quels enseignements ? Nomination et dénomination, éd., CRASC, 2005.2.

BENRAMDANE (Farid), In Amenas,origines, Elwatan du 16 février, 2013.3.

CHERIGUEN (Foudil), Anthropo-toponymie et désignation de "l'environnement politique", Mots, 1994, volume 39.

BOUZIDI Boubaker, De l’odonymie (ou les voies de la ville) de Sétif, Revue Développement des Ressources Humaines ; VOL: 07/N02/décembre 2016

Molino, J. ,« Le nom propre dans la langue », Langages, 1982, n° 66, p. 5.

Fabre Paul, Théorie du nom propre et recherche onomastique                                            

journals.openedition.org › praxematique : consulté le 10. 12. 2020

 

 

 



[1] Cité in Théorie du nom propre et recherche onomastique, P,Fabre.                                           

Séances 1 et 2

 

1. L’onomastique : une science carrefour, une réflexion historico-linguistique

. Présentation et définition du concept et de l’objet d’étude

. Subdivisions de l’onomastique

. L’onomastique,  étude pluridiscilinaire

. Méthode et investigation

 

2.L’onomatstique, étude du nom propre (abstract : interrogations er suggestions)

.Pertinence et  limites de l’onomastique

.Le propre du nom propre

 

 

 

 

De par son caractère multidisciplinaire, on lui reproche (à l’onomastique) souvent de ne pas définir clairement son objet d’étude.  La délicatesse de l’objet de son étude (le nom propre) et la complexité des rapports étroits  qu’elle entretient  avec l’histoire, la géographie, la lexicologie complique sa tâche et altère sa rigueur sur le plan scientifique. Le nom propre   un  appellatif, que l’usage a conventionnellement  retenu comme vide de sens : Il ne signifie pas mais indique. Le nom propre est-il encore un nom ? Accepte- t-il  déterminant et pluriel… ?

Pour  de Brosses,[1] «  la réflexion linguistique change de visée : le nom propre est abordé, non plus sous l’angle de sa nature, mais sous celui de son histoire … Les noms propres personnels ont une origine significative, et forment un sens dans le langage. Ils sont formés sur les mêmes principes que les autres mots d’une langue » 

Le nom  propre serait alors une fonction. Voilà ce qui engage l’onomastique à s’orienter vers la sociolinguistique.

L’onomastique – discipline qui étudie  les noms propres  se limite à la « définition, à l’étymologie (svt incertaine) à l’histoire …et néglige leur nature linguistique. La primauté doit être à l’étiologie et non à l’étymologie. Le nom propre est avant tout un nom  commun et l’onomasticien l’étudie  (mot ) comme nom commun. Les procédés de dénomination (en amont) ou d’analyse (en aval) sont partagés par/dans les diverses sous disciplines : anthroponymie, toponymie, etc. 

 

Le nom (l’appellation) propre serait-il propre à un individu, à un seul lieu. L’anthroponyme ne renforce nullement cette représentation. Combien y a-t-il de Samir, de Aicha, Christine ?

 

Particularités ! tous med , plusieurs med/ un med  peut désigner quiconque et une fatma (nom «  Sali » ) renvoyait bien à … Albert Dauzat faisait des noms propres « les substantifs par excellence » et pour  M. Bréal «  étaient les plus significatifs de tous »

Un sens ? Une référence particulière serait-elle possible sans appel au sens ?

 

 

Exercice

(Même pour un nom propre le sens est déterminant pour comprendre les énoncés qui suivent.

 

Il se rend en ville.

Il se rend en Espagne.

Il se rend à Médine.

Il se rend à la campagne,  au village,  au Havre ((à l’oral).

Le mot, nom propre, serait-il vide de sens ou surchargé de sens ?   C’est ce que nous verrons en semble.

 

 

 

Bibliographie

Basset, André, La langue berbère, Alger, Alger-livres,2013.

Baylon et Fabre, les noms de lieux et de personnes, Paris, Nathan, 1982.

Cheriguen, Foudil, Toponymie algérienne des lieux habités et des personnes, Alger, Epigraphe1993.

 --      ,   --      , Dictionnaire d’hdronymie générale de l’Afrique du nord ; éd. Achab, Tizi Ouzou, 2012.

Dauzat, Albert, Noms de lieux. Origine et évolution, Paris, Delagrave,1928.

--    --      , --       , La toponymie française, Paris, Payot 1971

Dorian,  Henri , Le lexique des termes utiles à l’étude des noms de lieux, P.U. Laval, Québec,1975.

HADDADOU Mohand-Akli, Dictionnaire toponymique et historique de l’Algérie, Tizi –Ouzou,2012.

 HUDON, Hélène, Méthodologie des inventaires toponymiques,Québec, 1986.( disponible sur Google)

LONGNON, Auguste, Les noms de lieux de la France, leur origine, leur simplification, leus transformations ; Paris, Libraire Ancienne Honoré Champion,1920.

Pellegrin, Arthur, Essai sur les noms de lieux d’Algérie et de Tunisie :

 étymologie, signification, Sapi, 1949.

Poty,René,Toonymie, une autre façon de voyage, http:/www.toponymie.com.

Rostaing, Charles, Les noms de lieux, Paris, PUF, 1974.

 

Articles

ATOUI (Brahim), L'odonymie d'Alger: passé et présent. Quels enseignements ? Nomination et dénomination, éd., CRASC, 2005.2.

BENRAMDANE (Farid), In Amenas,origines, Elwatan du 16 février, 2013.3.

CHERIGUEN (Foudil), Anthropo-toponymie et désignation de "l'environnement politique", Mots, 1994, volume 39.

BOUZIDI Boubaker, De l’odonymie (ou les voies de la ville) de Sétif, Revue Développement des Ressources Humaines ; VOL: 07/N02/décembre 2016

Molino, J. ,« Le nom propre dans la langue », Langages, 1982, n° 66, p. 5.

Fabre Paul, Théorie du nom propre et recherche onomastique                                            

journals.openedition.org › praxematique : consulté le 10. 12. 2020

 

 

 



[1] Cité in Théorie du nom propre et recherche onomastique, P,Fabre.                                           

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Modifié le: Wednesday 23 December 2020, 09:46